J’Ai Voulu Être Cocu - Épisode 5

Après son samedi à se faire baiser, Sylvie a besoin de récupérer et, pour la première
fois, je n’ai pas le droit à mon « jour de repos ». Elle se fait servir et me laisse
ma cage de chasteté tout le dimanche en me disant que le rôle du larbin docile et
éjaculateur précoce me va bien.

Ce jour a marqué le début d’un durcissement de ma qualité de soumis. Le dimanche
suivant, elle m’a laissé la pénétrer, mais en me disant : je te laisse 30 secondes,
après tu sorts. Un peu stressé à cause de mon envie d’éjaculer, je n’ai pas réussi à
le faire dans le délai. En rigolant elle m’a dit de remettre ma cage et m’a dit :
- Avec les amants bon baiseurs que j’ai, ce n’est que parce que je t’aime que je
vais te laisser plus de temps pour me baiser, mais il te faudra faire un effort si tu
veux pouvoir éjaculer dans ta femme ! Dorénavant quand je le déciderais, tu auras une
chance de 30 secondes. Et si, comme aujourd’hui, tu n’y arrives pas, tu attendras la
prochaine fois.

Plus tard ce même dimanche elle me demande :
- Notre jeu te plaît toujours ? Tu aimes être mon cocu soumis ?
- Oui, tu sais bien que oui
- J’avoue que moi aussi, je suis en permanence excitée. J’ai l’impression de
devenir nymphomane, mais j’aime ça. Mets-toi tu nu, à genoux devant moi !

J’obéis, sentant mon sexe qui veut durcir mais ne le peut pas. Ça à, comme toujours,
l’effet de me faire mouiller, ce qui lui donne une occasion de se moquer de moi :
- Mais tu mouilles comme une pucelle qui va à son premier rendez-vous. Tu es
vraiment fais pour être mon esclave !
-
Elle prend la mouille qui sort de mon gland sur son doigt et me le fait lécher. Puis
elle me dit :
- Depuis maintenant, dés que tu est à la maison tu te mets tout nu et tu mets le
petit tablier de soubrette que je t’ai offert. Je veux que la maison soit toujours
impeccable, que la lessive soit faite toute les semaine et que, quand je rentre le
soir après avoir bien jouis, un bon petit repas soit prêt !
- Je te promets de m’appliquer à te satisfaire.



Elle me roule un pelle en me disant qu’elle m’aime et en m’envoyant mettre le tablier.

La semaine, elle voit toujours ses amants régulièrement. Pendant ce temps, obéissant,
je m’occupe de toutes les taches ménagères. Le dimanche elle ne m’enlève plus ma cage,
disant que je dois m’habi à la porter en permanence. Lorsqu’elle le décide, en
général une fois par semaine, j’ai la chance de pouvoir la baiser. J’arrive presque
toujours à éjaculer en quelques secondes. D’ailleurs elle a baissé le temps qui m’est
imparti de 30 à 20 secondes.

Un samedi, alors qu’elle est partie faire des courses, je prépare le repas de midi et
fait le ménage. Je suis à la cuisine lorsque je l’entends revenir, comme il se doit «
vêtu », comme elle me l’a ordonné, uniquement de ma cage de chasteté. Je deviens
fébrile et un peu paniqué lorsque je l’entends parler. Elle n’est pas seule !

Jennifer, sa meilleure amie est avec elle. Elles se connaissent depuis leurs études et
Jennifer a été notre amie de noce. J’ai toujours pensé qu’elle devait être un peu
libertine et j’ai tout de suite compris qu’elle connaît notre jeu puisqu’elle
s’exclame :
- Voilà ton cocu, sa cage et son petit tablier lui vont à merveille.

Ma femme me demande de leur servir deux kirs pour l’appétitif qu’elles prennent au
salon. Elle m’autorise à rester debout, les mains dans le dos, yeux baissés. Je suis
mort de honte en entendant ma femme lui raconter mes exploits sexuels. Jennifer me
demande :
- Alors ça te plait d’être cocu ? C’est ça qui te fait mouiller comme une
nymphomane ?
- Oui
- Ben heureusement que tu aimes ça parce que ce serait de toute façon arrivé,
une femme ne peut pas se contenter d’un homme qui baise aussi vite qu’un lapin.

Un peu vexé, j’ai rougis et bredouillé que c’était un jeu et que je n’ai pas toujours
été comme ça.
C’est ma femme qui a répondu :
- Oui c’est vrai avant il tenait bien 3 minutes

Les deux femmes éclatent de rire. Jennifer dit :
- Tu ne crois quand même pas qu’une femme peut se contenter pendant 25 ans d’un
mec qui éjacule au bout de 3 minutes quand tout va bien. Elle n’a pas attendu que tu
lui le demandes, pour te faire cocu ? Sylvie dit lui quand c’était la première fois
après votre mariage !

Je sens qu’elle a une emprise assez forte sur ma femme qui, malgré la gène, dit
timidement :
- C’était pendant notre voyage de noce.

Malgré la surprise de cette nouvelle, mon excitation ne diminue pas. Ma femme me
caresse les couilles et, à son soulagement, remarque que mon attitude n’a pas changé
et que cette nouvelle ne provoque pas de malaises. Jennifer demande à ma femme de me
raconter.

- Tu te souviens de notre nuit de noce ?

Je m’en souviens avec honte, j’avais abusé d’alcool et j’avais été incapable de
bander. Nous n’avions donc pas baisé. Elle me raconte :

« Le lendemain matin nous sommes partis prendre l’avion pour notre voyage de noce en
Espagne sans que tu trouves le temps de te rattr.
C’est Jennifer qui m’avait donné l’adresse de cet hôtel. Elle y avait passé des
vacances.
Le dimanche soir il y avait une soirée avec orchestre à l’hôtel. Comme tu n’as
jamais été un fan de danse, tu as laissé un jeune homme, José, m’inviter à danser et
m’apprendre quelques danses espagnoles. Il faut savoir que si José s’est intéressé à
moi, ce n’est pas par hasard, c’était un libertin que Jennifer avait rencontré dans un
club. C’était une surprise organisée par notre amie de noce et même moi je ne le
savais pas. J’ai passé une très bonne soirée aux mains de ce bel homme. Pendant les
moments les plus sensuels, je me suis laissée plaquée à lui et je ne pouvais pas
ignorer sa belle virilité bandée.


Jennifer arrête ma femme pour dire :
- On devrait lui enlever la cage pour que tu voies à quel point ça l’excite. Je
suis sur qu’il banderait !
- Oui bonne idée, mais alors on lui attache les mains, je veux pas qu’il se
tripote !

Je me retrouve donc sans ma cage, les mains attachées dans le dos. Sylvie reprend son
récit.

Quand j’ai appris qu’il travaillait pour une école de plongée, c’est sans la moindre
arrière pensée que je l’ai invité à venir discuté avec toi. Tu as toujours aimé la
plongée et j’ai pensé que tu aurais envie d’en faire. Je t’ai même poussé à t’inscrire
pour une plongée chaque matin et disant que je t’accompagnerais, mais en restant
bronzer sur le bateau pendant que tu explorera les fonds sous-marins.
Le soir en rentrant dans la chambre, j’étais chaude comme la braise, j’avais une
grosse envie de baiser. Profitant de la douche spacieuse, nous avons entamé des
préliminaires très érotiques sous l’eau. J’avais oublié que le mariage ne t’avait pas
rendu endurant et de trop jouer avec ton sexe je t’ai fait gicler sans que je m’y
attende.
Comme dans ces cas, ton sexe est « hors service » au moins 2 heures, je venais que
rater ma première pénétration de femme mariée.
La fatigue du voyage aidant, nous nous sommes réveillé tard le lendemain. Pas de temps
pour enfin me faire baiser car nous avions rendez-vous au port.
J’étais assez fière de mon corps et c’est avec plaisir que, sur le bateau, j’ai enlevé
ma robe de plage pour exhiber mon petit bikini.
Pendant l’heure de navigation jusqu’à l’endroit de la plongée nous avons eu le temps
de faire connaissance avec les autres passagers. Il y avait 5 « collègues » de
plongée, le professeur de plongée, José qui pilote de bateau et s’occupe de
l’intendance. Vêtu d’un simple short, il exhibe son torse musclé. C’est à ce moment
que j’ai réalisé que j’allais me retrouver seule avec lui pendant votre plongée.

J’avoue que j’ai alors pensé à son sexe que j’avais senti bien plus gros que le tiens
et j’ai mouillé.
Pendant le trajet, alors que le professeur de plongée vous donne les informations et
instructions de sécurités, je suis aller discuter avec mon beau danseur dans la petite
cabine de pilotage. Lorsqu’il a posé une main sur mes fesses, j’ai fondu et il a
compris que la jeune mariée n’allait pas résister longtemps.
Arrivé sur place, il a jeté l’encre, vous vous êtes équipés et vous avez sautez à
l’eau. Alors que vous étiez à coté du bateau, j’étais appuyée à la balustrade. Comme
personne ne pouvait voir le bas de mon corps, José, à coté de moi, a tiré sur le nœud
qui tenait mon bikini sur la hanche. Tu me regardais, je ne pouvais pas protester sans
que tu t’en rendes compte. Il en a profité pour passé de l’autre coté de moi et tirer
sur le nœud qui tenais le bikini sur l’autre hanche. Quand je t’ai lancé un bisou et
que je t’ai souhaité plein de plaisir, j’avais le cul nu et je savais que tu serais
cocu.
Les préliminaires n’ont pas duré. Il m’a rapidement baisée, j’ai adoré son sexe qui
buttait contre mon utérus, contrairement au tien. Lui a été capable de me prendre en
levrette, la position que je préfère, et j’ai joui bien plus qu’avec toi.

Comme elle s’arrête un moment, c’est Jennifer qui se moque de moi en remarquant que ça
me fait bander d’apprendre que j’ai été cocu le deuxième jour de notre mariage. Ma
femme continue son histoire.

Ce soir la, je t’ai gratifié de ta première fellation d’homme marié. Tu en as été
tellement ému que, même si j’ai arrêté après même pas une minute, tu as jouis dans mes
doigts. Tu es devenu tout rouge quand j’ai rigolé et que je t’ai traité d’éjaculateur
précoce. Je crois que c’est à ce moment que j’ai compris le plaisir que tu prenais à
‘être humilié et dominé. Je t’ai dit :
- Un homme incapable d’honorer sa femme dans les trois jours qui suivent la noce
mérite une punition, qu’est-ce que tu en penses ?

C’est en baissant les yeux que tu as dit oui. Je t’ai alors dit :
- Tu va donc réussir un exploit dont tu n’osera jamais te vanter : tu rentrera
de voyage de noce sans avoir consommer ton mariage, tu me fera jouir avec ta bouche,
avec tes doigt, mais ton sexe attendra notre retour à la maison pour s’occuper de moi
! Tu acceptes la sentence ?
- Oui

C’est ainsi que nous avons continué notre voyage de noce, tu m’a bien sucée et
caressée, mais c’est la bite de José qui m’a baisée tous les jours. Même quand tu ne
faisais pas de plongée on a trouvé un moyen de baiser.

En disant ça elle c’est mise à caresser le dessous de mon gland avec son petit doigt.
C’est le coin le plus sensible et, vu mon excitation, elle sait que je ne résisterai
pas. C’est d’ailleurs après à peine 15 secondes de ce traitement que j’éjacule,
faisant éclater de rire les deux dames.

Sylvie me dit :
- Jennifer m’a aidée à retrouver la trace de José. On va en Espagne pour nos
prochaines vacances.

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